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Pseudo : kouta.l.ame.errante
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Nom: Stanford
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Prénom: Vincent
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Surnom Si besoin: ---
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Age: 21ans
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Groupe sanguin: AB
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Origine: Anglaise
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Lien de parenté, si besoin: ---
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Lieux de résidence: Résidence universitaire
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Vehicule: Moto style Harley Davidson
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Profession: Etudiant
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Description physique :
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Yeux: Bleu
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Cheveux: Chatains / Blonds, tendant entre le court et le mi-long
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Taille: 1m80
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Tenue Vestimentaire: Principalement veste noire (style costume) avec une chemise et un jeans bleu clair. Bref, tout ce qu’il y a de plus classique.
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Particularité(s) Physique s'il y a:
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Description Magique :
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Apprentissage: Apprenti
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Alignement: Ange
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Classe: Larme de Cristal
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Enseignement a maitriser et/ ou maitrisés : Eau / Soin / Esprit
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Particularité magique s'il y a: ---
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Maniement d'arme: Maniement des armes à feu suite à l’une de ses activités favorites qu’est le tire à l’arme. Il va de temps à autres améliorer son apprentissage dans un centre dans lequel il manipule des automatiques.
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Histoire:
Une nuit calme et étoilée. A travers cette beauté céleste, on pouvait admirer la moindre parcelle des corps astraux qui se livrent à nous chaque fois que le soleil se couche pour quelques heures, avant de revenir nous bénir de sa lumière souveraine et triomphante au petit matin. Un doux vent, calme et serein, que nous offre la Manche, vint baigner ses côtes normandes, théâtre d’un heureux évènement qui semble si habituel et inoubliable lorsqu’il se produit… La naissance d’un enfant. Un petit être, si doux et si fragile, qui ne peut cependant pas s’empêcher de hurler à pleins poumons, ce qui annonce qu’il est bien en vie.
Ces cris résonnèrent dans une auberge non loin du centre ville qu’était cette gigantesque capitale, Londres.
Enfin, c’est donc au coin du feu, prés d’une cheminée ouverte, qu’un couple tenait très précieusement un couffin, celui dans lequel venait d’être enveloppé le petit, alors qu’un médecin rangeait ses outils d’accouchements, arborant un tout aussi grand sourire de bonheur que les parents de ce petit être qui fut baptisé de ce prénom si délicat qu’est celui de Gabriel. Ainsi donc, ce mois de février, cette nuit de Saint Valentin même, accueilli un nouvel enfant, baigné par le signe du Verseau, et né sous le passage d’une étoile filante venant déchiré le ciel silencieusement, tout comme pour avertir ce dernier qu’un nouvel élu était né.
Une enfance comme les autres, au cœur même de cette petite et si grande Londres où, comme chaque parent aimant, ceux de Gabriel ne cessèrent de le gâter comme il le pouvait. C’est vrai, après tout, ce n’était que de simples et honnêtes commerçant mais qui avaient le cœur sur la main. Qui que vous soyez, ils n’hésitaient pas à vous aider dés que vous aviez un problème. Et c’est dans cette ouverture d’esprit constante que le jeune enfant grandit. Bien qu’il semblait assez solitaire de nature, il se fit des copains, des copines et, dans tout le lot, certains devinrent de véritables amis. Il faut dire, petit, Gabriel était du genre à donner plus que rapidement sa confiance, il croyait que tout le monde était beau et que tout le monde il est gentil. Toutefois, après quelques esprits fourbes et malins qu’il avait eu la chance, ou le malheur c’est selon, de rencontrer, il se montra beaucoup plus méfiant et plus renfermé sur lui-même. Dix années et le jeune garçon étaient déjà bercés par des désillusions plus que navrantes. Cela lui permettait alors de commencer à faire son entrée dans l’adolescence, l’âge de la révolution, l’âge où l’on se cherche, sans pour autant se trouver réellement. Cette période à laquelle où même les parents sont, à nos yeux, des ennemis jurés qui nous empêche de vivre et de grandir comme on le souhaiterait…
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« Croyez vous qu’il sera à la hauteur ? »
« Hum… J’en suis plus que persuadé… Il est né pour remplir cette tâche que nous allons lui incomber, même au détriment de sa volonté… »
« Justement, cela ne risque t’il pas d’être dangereux ? »
« Non, ce n’est pas lui qui deviendra l’un de ces sombres anarchistes… Faites moi confiance ! »
« Bien votre majesté, veuillez m’excusez pour l’impertinence dont je viens de faire preuve… »
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L’adolescence commença et, malgré une certaine colère qui se développa chez le jeune garçon, dans son fort intérieur, il ne semblait pas dévier du chemin. En effet, Gabriel devenait un peu impulsif mais, malgré cela, il continuait de suivre les valeurs que ses parents défendaient si ardemment. La justice, la vérité, le respect, l’amitié et l’amour. Cela semble un peu cliché dans un monde où tout semble aller de travers mais, en réalité, il y a quelques personnes qui semble encore croire réellement à ce que beaucoup considère comme de l’utopie, une illusion qui se désagrège et qui se perd automatiquement.
Bien évidemment, on pourrait dés lors penser que sa jeune vie se déroula sans aucun accro mais, malheureusement, à cet âge où les amis sont plus importants que la famille, Gabriel manqua parfois de raisonnements et préféra suivre ses amis, quelque soit le danger de ce qu’ils désiraient accomplir…
Un réveil douloureux dans un endroit baigné par une lumière artificielle. Aucune trace du ciel, du soleil, de la lune ou encore des étoiles si belles et magiques. Pas une fenêtre, juste trois murs, bruts, et accompagnés d’une grande cellule aux barres de fers plus que solide… Oui, Gabriel venait de terminer en prison après avoir commis une erreur de trop.
Un de ses amis, Alexandre, l’avait invité à sortir avec sa bande, les Yeux Noirs. Ce groupe s’appelait comme ça pour la bonne et simple raison que, par tous les temps et autres intempéries, ils portaient tout des lunettes de soleils qui dissimulaient leurs yeux. Atout majeur quand l’activité de ce groupe est de commettre pleins d’actes de vandalismes, sans se soucier des conséquences. Alexandre, quand à lui, était un peu le chef de la bande mais, également, le meilleur ami d’enfance de Gabriel. De ce fait, il avait joué de son influence pour enrôler Gabriel au sein de son petit gang et, ainsi, avoir une parfaite tête de turc au sein de groupe qui, par amitié, serait prêt à se faire pincer et à avoir des ennuis. C’est donc sans surprise que Gabriel, effectivement, s’était alors retrouvé derrière les barreaux.
Deux jours… deux jours entiers que ses parents, totalement déçus et profondément attristés, le laissèrent croupir ainsi derrière les barreaux. Certes, ce n’était que sa première bêtise mais, tout de même. Voler une voiture et suspecter d’agression… Lui qui avait grandi dans un univers où, justement, l’on prônait la justice, la paix et non l’agression. Une grande cassure dans la confiance réciproque que Gabriel avait envers les siens et inversement. Maintenant, il devrait être capable de se racheter, de prouver qu’il pourrait changer et rester un garçon bien. Pour beaucoup, cela ne serait qu’une simple erreur mais, les grandes catastrophes commencent toujours pas des bourdes minimes, sans importance et la famille de l’adolescent ne voulait pas voir ce dernier terminer comme un grand criminel sous prétexte que l’on ai pas vraiment accordé d’importance à cet acte…
Après cet incident, Gabriel se mit alors à franchir son adolescence d’une manière plus sage et plus solitaire. La trahison d’Alexandre, son ‘meilleur ami’, l’avait vraiment affecté et, dés cet instant, il comprit qu’il ne pourrait sans doute plus jamais donné toute sa confiance à quelqu’un, qu’il soit bon ou encore mauvais. C’est ce qu’on pourrait appeler une désillusion de plus. Même dans son entourage il devait se montrer méfiant. Bien entendu, il avait encore un ou deux amis sincères mais, mis à part sa famille, plus personne ne trouverait assez de grâce à ses yeux pour le connaître entièrement et le posséder comme réel ami…
Tout se passa alors mieux, entre guillemets, pour le garçon jusqu’à ses 18ans. Il ne commettait plus d’impair et, petit à petit, avait réussi à retrouver tout l’amour et toute la confiance de sa famille, heureuse de voir qu’il avait changé après son incident. Bien que parfois gamin dans ses délires ou son comportement, il ne fallait pas s’y tromper, Gabriel avait acquis beaucoup de maturité au fil de ses quelques années passées. Il avait changé et pouvait être prêt à entamer ce que l’on appelle la vie adulte. Toutefois, avant de commencer cette dernière, une ultime épreuve, douloureuse et pourtant inévitable, survint dans la vie de ce jeune garçon…
‘Aujourd’hui, dans la matinée, un couple meurt dans un tragique accident de voiture !’
Voilà ce qu’on pouvait lire dans le journal local. Un journal que Gabriel saisit fermement, les yeux emplis de rage, de colère et de tristesse en comprenant, lors de la lecture de l’article, qu’il s’agissait de ses parents qui venaient de décéder. Ses derniers étaient partis en amoureux pour fêter leurs 30ans de mariages et, ne se souciant guère de leur absence, Gabriel était resté une semaine seul à la maison, apprenant à s’assumer par le biais des petites tâches ménagères. Cependant, en voyant la date de l’accident, Gabriel comprit que les parents avaient décidés de revenir un jour plutôt, comme pour lui faire une surprise… Une surprise qui leur coûta la vie…
Qu’allait il faire maintenant ? Allait il se retrouver seul ? Sans personnes, ni famille ?
Ses grands-parents étaient décédés quelques mois plutôt et, quand à ses oncles, tantes et autres, ils vivaient tous à l’étranger. Comment aurait il pu les joindre alors qu’il n’avait même pas leurs adresses ?...
Et bien, malheureusement oui. Mais, d’un autre coté, il avait une détermination presque sans faille de vouloir s’en sortir. Une détermination d’aller loin dans la vie et d’avoir le meilleur avenir possible, tout comme l’aurait souhaiter ses parents.
Ainsi donc, Gabriel, bien que seul, réussit à trouver des petits boulots, gagner de l’argent, commencer à s’amuser et, surtout, entrer à la Fac de Londres où, grâce à cela, sa vie changerait du tout au tout et qu’il pourrait sans aucun doute possible, embraser sa future destinée qui commençait à s’éveiller à lui…
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« Alors maître, qu’aller vous faire maintenant ? »
« Hum… Ais je vraiment le choix ? »
« Que voulez vous dire par là ? »
« Et bien que ce jeune homme semble véritablement être l’un de ces élus que nous avons tant cherchés… Qu’il le veuille ou non, son destin sera de protéger le Secret… »
« Vous voulez dire que ?... »
« Oui, bientôt, il pourra s’éveiller au pouvoir des Anges et devenir l’un de nos plus fidèles serviteurs… »
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Compléments: ---
Lun 12 Mar - 21:39
