Erwan

~ Pseudo : 3rwan.lvlore

~Nom: More.

~Prénom: Erwan.

~Surnom Si besoin: Labyrinthe.

~Age: 21.

~ Groupe sanguin: O.

~Origine: Française.

~Lien de parenté, si besoin: /

~Lieux de résidence: Dans un petit studio sur le campus quelquefois, la plupart du temps dans son camtar

~Vehicule: Un van. Sinon, quand il est à Londres, un skate.

~Profession: « PDG » d’un commerce de matériels de surf.

~Description physique :

-Yeux: Bleus.

-Cheveux: Blonds, longs.

-Taille: 1m78.

-Tenue Vestimentaire: De baggy à bermudas, de chemises décontractées à t-shirt simples, de pull à sweat-shirt. Tout dépend du temps, de ses envies, et surtout de la disponibilité des affaires!

-Particularité(s) Physique s'il y a: Un tatouage sur l’omoplate droit.


~Description Magique :

-Apprentissage: Mage.

-Alignement: Ange.

-Classe: Dalaï Lama.

-Enseignement a maitriser et/ ou maitrisés : Eau, Air, Transformation (A revoir).

-Particularité magique s'il y a: A voir.



-Maniement d'arme: D’un naturel pacifiste, Erwan se contente de ses dons pour se défendre. Il connaît quelques techniques de défense qu’on lui aura appris au cours de ses périples mais sans plus.


~Histoire:
Né sur la côte bretonne en France, Erwan montre dès sa plus jeune enfance un goût très prononcé pour la mer. Bercé par le murmure des vagues, il n’est pas long à monter sur une planche. Ses jeunes années, il les passera dans un collège, section surf, ce qui lui permettra de partir étudier en Australie, arrivé en 2nde, grâce à un programme de jumelage entre les deux pays, pour les plus doués. Le voilà, donc, à seize ans, sur un territoire inconnu. On peut imaginer son enthousiasme face à ce jardin d’Eden pour surfeurs. Avec sa classe, il parcoure tous les bons spots de la côte est, mais restera très attaché à Kirra Point. Cette vie paradisiaque sera toutefois momentanément perturbée, dès la première année sur les terres australiennes, par quelques incidents.

Extraits du journal de bord d’Erwan More.

27août.
5h am, Duranbah: L’Hawaïen est venu me réveiller. De gros tubes en perspective. Je saute à bas de mon sac de couchage, pour me précipiter hors de la tente. Le ciel est clair. De bonnes conditions. Les vagues font entre 1m50, 1m70. Pas de vent. Une session idéale qui s’annonce. Je vais chercher mon matos dans le van. Des têtes apparaissent des autres tentes également. Ils émergent. Il est temps. Bientôt il y aura trop de monde sur les vagues.

5h15 am, Duranbah: Planche waxée, sous le bras. Lycra enfilé. Je cours pour descendre des dunes, vers la plage. L’excitation est à son comble. De beaux barrels bien réguliers. J’ai qu’une hâte, c’est être à l’eau. Et finalement.. Ca sera bien plus tôt que prévu. Je cours. Et je tombe. Dans un trou de flotte. En plein milieu de la plage. Qui disparaît bientôt, me laissant trempé, tremblant, étalé sur le sable.
[…]

8septembre.
11h am, Kirra Point: Je sors de l’eau. Heureux par cette putain de session. Enthousiasme douché. Le bonhomme est encore là, sur la plage, à m’attendre. Je fais comme si je ne le voyais pas. Mais il ne me lâche pas. Je cède enfin à son invitation à prendre un petit déj en ville, à cause des phénomènes de la veille. Si je n’avais pas été le témoin même de ce qui m’arrivait, je le prendrai pour un allumé. On va prendre un petit déj et il me parle de trucs complètement farfelus. J’émets des doutes.

1h pm, Kirra Point: J’y crois.
[…]

Deux ans plus tard.

[…]
9janvier.
7h am, Honolua Bay: On est arrivé sur l’île. Rico m’a accompagné. Il s’impatiente à me voir progresser. Il m’a encore passé un savon: « Hey man, le surf n’est pas toute ta vie, tu dois t’exercer à tes dons. » C’est facile pour lui. Bien que j’ai rapidement assimilé le don d’eau, celui-ci est coriace. Je suis crevé entre le surf et les longs entraînements que Rico m’inflige.

4h pm, Honolua Bay: Je suis assis dans le sable. Malgré qu’on est en hiver, Honolua reste désespérément flat. Ca ravit Rico. Ca me désespère. Pas une seule vague à l’horizon. On a pris une décision. Je laisse tomber les études. Avec les dons de Rico qui rapportent pas mal d‘argent (bien qu‘il y est plutôt réticent à s‘en servir ainsi), on peut monter une entreprise de surfshop. Il veut installer le QG à Londres. Il n’y a peut-être pas de vagues mais des magiciens. Il ne perd jamais le Nord, Rico. Moi, ça me convient. Je vais pouvoir aller observer les nouvelles tendances un peu partout. Et surfer par la même occasion. Notre présence à Londres n’est pas nécessaire tout le temps.
[…]

Trois ans plus tard.

[…]

13mai.
6h am, Bretagne: Me revoilà dans ma contrée natale. Ce ne sont pas les grands spots que j’ai traversé mais ça se tient quand même. Les sessions à l’aube ou au crépuscule sont les plus agréables. Et c’est chez moi. Bientôt, il faudra que j’aille faire un tour à Londres. Trois semaines que Rico été tué. Je ne suis pas encore Maître. Il m’a laissé un mot, comme s’il savait qu’il allait mourir. Evidemment qu’il le savait. Il me lègue tout. Une vraie petite fortune. Et le commerce qui marche à fond. A la seule condition que j’aille à Londres finir mon apprentissage auprès d’un autre mentor. Je suis assis dans le sable. Le soleil se lève, rougeoyant. Déjà des gars à l’eau. Je range mon carnet. C’est parti pour les dernières vagues avant mon bateau.

[…]