~ Pseudo : Swazen
~Nom: Remian
~Prénom: Mathilde
~Surnom Si besoin: Swazen, à cause de sa cousine qui hurlait : Soiiiit Zen Mathilde .
~Age: 21 ans
~ Groupe sanguin: AB-
~Origine: Anglaise
~Lien de parenté, si besoin:
~Lieux de résidence: Chambre d’étudiante non loin du Conservatoire.
~Vehicule: Voiture
~Profession: Etudiante en Musique
~Description physique : Swazen est ce que l’on pourrait qualifier de jeune fille complètement banale, passe partout. Depuis son enfance, elle porte ses cheveux au carré. Selon sa mère, c’est ce qu’il lui allait le mieux. Son corps, elle ne l’a jamais supporté. Il est trop grand, trop mince, trop clair. Et cette poitrine qui est survenue trop rapidement, elle la déteste. Elle a des lèvres gourmandes Swazen, pulpeuses. C’est peut-être pour cela qu’elle les pince si souvent, qu’elle sourit rarement. Elle en a honte. Il n’y a qu’une chose qu’elle accepte : ses yeux clairs et ses mains de pianiste.
-Yeux: En amande, bleu- gris clairs.
-Cheveux: Coupé au carré châtain
-Taille: 1 mètre 75
-Tenue Vestimentaire: Classiques, pas trop de couleur au risque de se faire remarquer. Jamais de talons, jamais de vêtements près du corps, c’est trop… obscène.
-Particularité(s) Physique s'il y a: Tâche de naissance au creux des reins.
~Description Magique :
-Apprentissage: Orphelin
-Alignement: Neutre.
-Classe: cf liste.
-Enseignement a maitriser et/ ou maitrisés : Divination ( A moitié. )
-Particularité magique s'il y a: Lorsqu’elle « joue » (simple excuse pour faire bien), Mathilde ne sait plus vraiment où elle se trouve, s’en suit également une incohérence des propos.
-Maniement d'arme: Et encore c’est plus par jeu, et compétition : le tire à l’arc.
~Histoire: Depuis sa tendre enfance, Mathilde a été éduquée selon les versets de la Bible, dans le respect de cette dernière. Elle ne s’est jamais plainte de ses parents, de toute façon, elle n’avait pas le droit de se plaindre. Elle n’a jamais manqué de rien, ni d’argent, ni de coups, ni de leçons moralisatrices. C’est pour ton bien Mathilde, c’est ce qu’ils lui disaient, chaque jour, sans oublier de réciter le béni cité à table, les prières du matin, du soir, de l’après midi et toutes les autres. L’école fut religieuse, cela va de soi. Une des meilleures, une des plus strictes, vu qu’ils en avaient les moyens, et que leur fille avait… pour eux quelques troubles à soigner. Au fil du temps, Mathilde est devenue une jeune fille tout ce qu’il y’a de plus respectable : toujours à venir en aide au plus démunis, toujours à courber la tête pour satisfaire l’humeur de sa famille. Mais son charme, allons, il ne devait pas être visible. Jamais. C’est diablerie. C’est une atteinte au Seigneur. Elle aurait pu se rebeller, mais… L’idée ne lui est jamais venue à l’esprit. A quoi cela servirait-il ? Elle pouvait jouer du piano autant que cela lui plaise. Plus tard elle serait pianiste, elle aura un bon mari, une gentille famille. A ce jour, elle est au conservatoire, brillante musicienne en devenir. Ses parents sont toujours vivant, et ils le font savoir, principalement sa mère, à venir tous les trois jours au Conservatoire, sa chambre pour vérifier que sa chère enfant ne fasse pas honte au nom qu’elle porte.
Mais… Il y’a une chose que Maman et Papa ne savent pas, Mathilde connaît le livre de l’apocalypse sur le bout des doigts, elle peint toujours en secret, ses visages qui hurlent, plongés dans le sang, dans l’acide. Et, elle en a honte de ce besoin à satisfaire, d’expulser ses images qui la torturent. Dans la boite à bijoux, aussi, elle a récupéré le collier au drôle de pendentif. C’est à elle. Il faut… jouer avec ! Silence… Ce sont des secrets à taire. A oublier. Va prier ma Fille, Dieu tout puissant te lavera de tes pêchers.
~ Compléments:
Mar 24 Avr - 14:10
